A mis-chemin entre un jouet morbide et un objet fonctionnel et mystique. Il est censé s’activer manuellement en tirant sur la ficelle, provocant ainsi la vie. Il se crée une danse macabre rythmée par le bruit de la machoire en bronze frappant le crâne en bois.
Le trépied évoque le nomadisme de cet objet reliquaire dialoguant exclusivement avec la personne qui l’utilise, c’est un face à face avec la vanité, un miroir.